Seize

Vu « Parralel Worlds, Parralel Lives », un superbe reportage sur Hugh Everett, l’inventeur de la théorie des univers multiples, qui est également le père de Mark Oliver Everett, alias E du groupe Eels. E part à la rencontre de physiciens qui ont connu sont père ou qui travaillent sur sa théorie. C’est excellent, et pas seulement parce que je suis un fan de Eels.

Pendant que le loup

Entre chien et loup, entre la nuit et le jour, entre l’optimisme et le pessimisme. Quelque chose me dit que les choses vont pouvoir s’arranger. Notre présence ici en est peut être la preuve.

Edit : Bashung est mort. Je ne pensais pas que la mort de quelqu’un que je ne connais pas personnellement et dont je connais mal l’oeuvre pourrait me peiner autant. Plus que ce qu’il a fait, c’est sa façon de l’avoir fait, sans jamais se compromettre, avec exigence, qui restera un exemple à suivre.

On ze road again

Quand on n’a pas beaucoup de temps à consacrer à des sorties photo, la voiture reste un (bon) moyen de tenter la photo quotidienne. La technique est risquée, mais je maîtrise de mieux en mieux, et cette fois-ci le type dans le camion a été sympa pour le constat…

Dans le flou

Qu’est-ce qui va bien pouvoir continuer… Tout est flou à plus de quelques heures. On ne vois pas plus loin que quelques centimètres. Ca doit s’appeler vivre en mode macro.

NB : revu sur un fameux site de vidéos en ligne une longue interview de Brel, ça vaut son pesant d’or, même si on n’aime pas ses chansons.

Le printemps s’en fout

Le printemps s’en fout pas mal de ce qu’il se passe, de la crise, des supporters de foot, de la musique, des gens qui passent, des grands drames et des petites joies, des petits drames et des grandes joies, des connards et des autres. Il est en route.

Scrabble

Je ne pensais pas prendre encore un jour du plaisir à jouer au scrabble, encore moins dans un lieu comme celui-là. Et pourtant. Quelques minutes suspendues peuvent vous faire oublier où vous êtes, pour mieux vous rappeler avec qui.

Infidélités

Quelques fois, en repassant devant mes vieux appareils argentiques, chargés de pellicules monochromes qui se languissent, je culpabilise de mon infidélité avec cette chose en plastique périssable que je leur préfère ces derniers temps. La culpabilité se teinte de regrets quand je met mon oeil derrière le viseur de mon Pentax ME. Mais est-ce si important ? Je me rend compte que je finis avec les mêmes images, les mêmes ambiances, les mêmes traitements aux limites de la sous-exposition. Ne m’en voulez pas petites choses métalliques, le temps est au plastique, mais vous lui survivrez.

Lumières du lac

Un bon côté de mon obsession, c’est qu’on peut me poser n’importe où, ou même me poser un lapin, du moment que j’ai un appareil sur moi, je ne m’ennuie jamais. Or, comme j’ai toujours un appareil sur moi, je ne m’ennuie jamais. Surtout pas la nuit, au dessus du lac. Pratique non ? En revanche je n’ai pas toujours de trépied…